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Yaga et moi, une aventure aux mille délices

Dans quelques jours, ce 20 mars 2025, nous allons célébrer les dix années de Yaga. Un moment pour ressasser le passé afin d’en extraire les plus beaux souvenirs, comme le raconte une blogueuse. Hormis cet espace de créativité, cette blogueuse a tissé des liens d’amitié solides avec cette équipe.

 Pour les 10 ans de Yaga, j’ai la ferme intention d’écrire quelque chose sur cette boîte. Au moment de rédiger mon billet, ma plume me trahit. Mes mots qui coulent souvent avec facilité se perdent en chemin, mes idées s’envolent et mon regard se fige. Certes, je ne suis pas ancienne dans cette boîte, mais j’ai vécu des tas d’aventures à Yaga. Quoi dire ? Quoi omettre ? Je fulmine et m’impatiente. Néanmoins, je mets mon mal en sourdine et dégotte quelques extraits de mes plus beaux moments.

Il était une fois, Yaga

C’est en 2018, à la fin de mes études secondaires que je découvre cette boîte. Éprise de littérature, je suis assez fascinée sur la qualité et la justesse de leurs écrits, idolâtrant déjà certains de leurs blogueurs sans même les connaître. Par la suite, je comprends que dans la boîte, il y a aussi des vidéastes, photographes, chefs de projets, responsables financiers, etc. Tous des gens qui réalisent leur travail avec brio et singularité. Très vite, je veux faire partie de ce monde qui regorge d’artistes passionnés. A cette période, suite à une lecture compulsive, je me mets à rédiger des textes en tout genre : poèmes, articles et nouvelles.

En 2022, une amie, blogueuse de Yaga fait découvrir à l’éditeur un de mes textes. Quelques semaines plus tard, à ma grande joie, ce dernier m’invite à faire partie des contributeurs, une équipe de blogueurs externes qui rédige des articles pour Yaga.

La première fois que je pénètre dans les locaux de Yaga, je suis impressionnée par les portraits de Nelson Mandela, Thomas Sankara et autres ainsi que des graffitis, tous me faisant évoquer le courage et la liberté d’expression.

Bien plus qu’un média

 Je suis convaincue de ne pas être la seule à affirmer ce fait : c’est doux et accueillant à Yaga ! Les premières fois que je quitte les locaux de Yaga, je m’empresse de raconter à mes amis combien j’ai été choyée le peu de temps que j’ai passé avec les Yaguistes. Malgré la surcharge de leur travail, ils accordent une attention particulière aux nouveaux venus ou aux visiteurs, leur faisant sentir chez eux. Même aujourd’hui, après 3 années parmi eux, il m’arrive d’être stupéfaite par leur accueil chaleureux : « Un café ? De l’eau ? ».

 Au fil des conférences de rédaction, j’ai découvert que parmi eux se cachent des petits génies. Il suffit seulement de les entendre argumenter. A chaque fois, mes oreilles sont éblouies par leur prise de parole. J’aurais aimé tantôt que le temps s’arrête pour profiter encore longtemps de leur charisme, leur sens de l’analyse et la précision de leurs mots. A côté d’eux, mes interventions me paraissent maladroites et sans matière. Pourtant, ils ont toujours été les premiers à féliciter mes petits pas, à déceler quelques talents en moi et à m’encourager. Pour ce, je leur serai à jamais reconnaissante.

Les missions que j’ai effectuées avec Yaga m’ont apporté des amis chers. C’est avec eux que j’ai passé le plus clair de mon temps à rire à en perdre des larmes, à dépeindre des faits sociaux drôles ou parfois accablants et surtout à dénicher des inspirations pour plus de récits puisés dans le quotidien des gens. Pour arriver à une telle notoriété, il y a 10 ans, les fondateurs de Yaga ont sans doute visé l’excellence. Je souhaite donc à l’équipe Yaga de continuer sur cette lancée.

Longue vie à Yaga !

 

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