Mais qu’est-ce qui arrêtera le pouvoir de Bujumbura ? Après le dossier Maprobu qui a fini en queue de poisson, le régime vient de marquer une autre victoire : le retrait de la CPI ce vendredi, une année après son annonce.
Sur les réseaux sociaux, c’est la jubilation de la part des supporters du parti au pouvoir. Et pour l’opposition et une partie de la société civile, cette échéance aura un goût amer après une campagne de longue haleine pour traduire en justice les responsables burundais, qui semble avoir accouché d’une souris.
Pendant ce temps, selon RFI, un projet de révision de la Constitution a été adopté cette même semaine par le Conseil des ministres. Une modification qui permettrait au président actuel de se représenter pour un quatrième mandat, et de régner, ad vitam aeternam. Qui sait ?
Félicitation pour nos leaders, ils ont franchit un pas, maitenant on peut dire qu’ils sont des héros pour les leaders africains!!! Quand même lors de la signature de ce convention, nos anciens leaders visaient un intérêt quelconque pour les biens de »Abanyagihugu » d’autrefois, c’est aujourd’hui qu’on peut dire que notre pauvre patrie est accomplie en tout. Hahaaaa!!! Malheur à nos « Benegihugu » d’aujourd’hui, la suite revient à eux. wait and see disait les anglais.