Dans ce texte humoristique et ironique, l’auteur revient sur une chose partagée par de nombreux élèves (et même quelques adultes) : la phobie des maths. Il explore avec une dose de sarcasme, la terreur que peuvent provoquer les équations, les fonctions, les logarithmes, les intégrales et autres concepts mathématiques. Loin d’être une simple moquerie, ce texte est une réminiscence des angoisses bien réelles de ceux qui se sentaient perdus devant des formules incompréhensibles.
Yooo… les maths. Pour certains, cette matière incarne l’élégance du raisonnement logique, l’art de la précision. Mais pour moi, c’est un cauchemar éveillé, une invention mythique prête à dévorer mon esprit à coups d’équations complexes et de formules compliquées.
Combien de fois mon cerveau a bugué devant un simple exercice de maths ou devant une feuille d’examen ? Je ne saurais le dire. Un nombre accompagné d’un autre nombre, eux-mêmes suivis d’une série de symboles étranges… Chaque fois, mon cerveau commençait à lancer des signaux d’alarme : « Danger imminent ! Formule inconnue détectée ! Fuite recommandée ! »
Mais impossible de fuir. J’étais coincé, enchaîné à cette feuille de papier comme un condamné à sa cellule. Le temps filait, et chaque minute qui passait était une agonie silencieuse. Je fixais les chiffres, espérant qu’ils finissent par se transformer en mots familiers, en phrases cohérentes, ou mieux encore, qu’ils disparaissent tout simplement ! Mais non, ils restaient là, impassibles, moqueurs, défiant toute tentative de compréhension. Inutile de mentionner combien je me sentais nul, voire anormal.
Les inconnues à 2 b…
Ngo « X égal quoi ? »
« Pourquoi X ne pourrait-il pas simplement s’expliquer tout seul ? Après tout, X est probablement plus intelligent que nous tous, il doit bien savoir ce qu’il vaut ! »
Qu’est-ce que je détestais ces équations à 2 balles (pardon à 2 inconnues) ! Elles sont toujours inconnues jusqu’à l’heure où je vous parle. Qu’est-ce que je m’en fous…
Franchement, qui a décidé que manipuler des chiffres et des lettres ensemble, comme s’ils pouvaient s’entendre, était une bonne idée ? J’aimerais bien rencontrer cette personne, juste pour lui poser une petite équation : « Ma chaussure + ton derrière = quoi ? ».
Et puis, il y a cette fameuse question qui me revenait à chaque fois : « À quoi ça va me servir dans la vraie vie ? ». En effet, qui parmi nous a déjà eu besoin de résoudre une équation quadratique pour acheter du pain ou du charbon ? Inutile de préciser que chaque fois que je pose la question même aujourd’hui, il y a un individu qui a fait (comme par hasard !), la scientifique A pour me dire que dans la vie de tous les jours, qu’on le veuille ou non, on utilise les maths. Qu’est-ce que je m’en fous…
Durant toutes mes études, j’ai toujours eu des « échecs » en maths et fais des repêchages toutes les années dans cette matière. Repêchages, que je ne trouvais jamais. Allez savoir ce que les profs cherchaient à repêcher avec moi. (Mais qui a inventé le mot « repêchage » ? Ce mot est d’une nullité…). Quand je me rappelle que je ne suis plus obligé d’étudier les maths, je remercie le ciel. Et Dieu merci, les calculatrices et internet existent !
Qu’est ce que je détestait ce cours! Combien j’ai été torturé dans les classes d’examen à m’associer devant une feuille sont je ne comprenais pas ce qui y était écrit!😭
La vraie conspiration de l’histoire humaine c’est les maths.Frachement, je crois que ces gens (Pythagor ou Thales) soient ils étaient foux ou rempli d’ésprit satanique et on les a cru🤔.