Parfois, dans les instants cruciaux de nos vies, notre cerveau décide de prendre des vacances surprises, laissant derrière lui un chaos hilarant. De l’interview stressante à l’examen éprouvant, notre cerveau a parfois des accès d’oubli sélectif, nous laissant dans des situations cocasses.
Tel un magicien égaré, notre cerveau choisit parfois le pire moment pour s’éclipser, laissant notre moi conscient seul face à l’inconnu. C’est un peu comme si notre pensée avait pris un billet aller simple pour l’île de l’oubli, nous laissant là, sans mode d’emploi ni GPS mental.
C’est un peu comme si notre matière grise avait décidé de faire une pause-café en plein marathon mental. On se retrouve alors dans une sorte de néant cognitif, à chercher désespérément une pensée cohérente parmi les brumes de l’oubli.
Dans cette quête étrange de lucidité perdue, notre esprit se retrouve souvent à errer dans un labyrinthe de confusion. Les mots se bousculent, les idées se télescopent, et nous voilà perdus dans un océan d’incohérence où même le plus simple des raisonnements semble une énigme insurmontable.
Suis-moi je te fuis…
Après des semaines à réviser fébrilement, le jour de l’examen est enfin arrivé. Vous avez tout en tête, sauf la réponse à la question la plus importante. Alors que vous cherchez désespérément dans les tréfonds de votre esprit, ce sont les noms des membres d’une vieille série télé ou le plat que vous avez mangé hier soir qui refont surface, laissant la réponse tant attendue perdue dans les méandres de votre cerveau.
Face à une question simple, votre cerveau décide de sortir des sentiers battus et de vous fournir une réponse totalement inattendue, souvent au grand désarroi de votre interlocuteur. Au moment où vous êtes sur le point de faire une déclaration cruciale ou de répondre à une question ardente, votre cerveau décide de jouer les artistes, remplaçant les mots bien pensés par un amas de sons incohérents. Vous vous retrouvez alors à balbutier des phrases sans queue ni tête, vous demandant si votre cerveau s’est soudainement évadé.
Le nom semble être l’un de ses tours de magie préférés à faire disparaître au moment le moins opportun. C’est comme si notre mémoire sélective avait décidé que retenir les noms était une tâche trop banale pour elle, préférant se concentrer sur des choses plus exotiques, comme les paroles oubliées d’une chanson des années 90. Et quand vient le moment crucial de présenter cette personne dont vous connaissez le visage depuis des années, votre cerveau vous laisse en plan, comme un magicien qui aurait perdu son lapin dans son propre chapeau.
Dans ces moments où notre cerveau nous fait des blagues douteuses, gardons à l’esprit que nous sommes tous humains, sujets à des lapsus et des oublis impromptus. Plutôt que de se morfondre, soyons tolérants. Après tout, c’est dans ces situations que naissent les anecdotes les plus mémorable et peut-être pas sur le moment mais plus tard certainement.