Un message d’une « puante » (bizuth de l’Université du Burundi, ndlr) désespérée me rappelle le calvaire vécu il y a huit ans lors de la phase d’« intégration ». Jusqu’à cette heure, je me demande toujours la raison d’être du bizutage.
Un message d’une « puante » (bizuth de l’Université du Burundi, ndlr) désespérée me rappelle le calvaire vécu il y a huit ans lors de la phase d’« intégration ». Jusqu’à cette heure, je me demande toujours la raison d’être du bizutage.