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Stop au partage d’images violentes sur les réseaux sociaux !

Le partage de photos en tous genres n’est devenu qu’un simple jeu de clic sur les réseaux sociaux. Rares sont les internautes qui osent mesurer les conséquences des contenus qu’ils exposent à la vue du grand public. La censure d’images passe pour le cadet de leurs soucis en RDC.

L’usage de nouvelles technologies et des réseaux sociaux fait désormais partie de notre quotidien. Hélas, la diversité et la quantité de données partagées sur les réseaux sociaux sont devenues incontrôlables. Sur les réseaux sociaux, on a le droit de tout publier ou presque : textes, sons ou images. Ces images peuvent être de joie, de paix, de bonheur, donc positives, ou à l’inverse, de haine, de guerre, de nudité, ou de violence. Les utilisateurs s’adonnent à des partages instantanés des images sur tous les sujets, sans s’inquiéter des conséquences de leurs publications.

Tourner sept fois l’image dans sa tête  avant de la partager

La diffusion des images de violences sur les réseaux sociaux en RDC, puisque c’est à cela que je m’attaque, est devenu un sport national. On se souviendra de l’explosion de cette pratique avec les tragiques événements autour de Beni ces dernières années. La toile se voyait inondée d’images ensanglantées, de massacres des innocents insupportables à regarder.

 

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