Des idéaux opposés. Des armes inégales. Des cibles et des contextes différents. Ces jeunes prennent le chemin de la violence pour des raisons très distinctes.
À Paris, ils étaient manipulés par un groupe terroriste. À Bujumbura, ils sont influencés par le pouvoir ou l’opposition politique.
Jeunes d’Europe, d’Afrique ou d’ailleurs, tous semblent avoir un point commun : ils ont généralement pris les armes suite à un abandon. L’État ne permet plus à ses jeunes citoyens de penser l’avenir. En résulte le manque de projets, de repères ; une société atomisée.
Comment inverser ce cycle ?
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