Dans cette interview qu’il a donnée à Libération, le blogueur Alain Amrah Horutanga analyse les conséquences de la crise actuelle sur notre capitale.
« Bujumbura, la capitale aura besoin de beaucoup de temps pour s’en remettre. Rien ne sera plus comme avant. Il faudra encore plusieurs années pour que Bujumbura reprenne le cours normal de la vie qui était sienne. C’est une ville à double visage : une première désolante et qui s’observe dans les quartiers périphériques où la contestation est forte et un autre morose dans le centre-ville. On essaie de survivre, et aux tirs de la police, et aux grenades des terroristes visiblement. La mort est partout. La journée vous vivez au rythme des tirs et la nuit des tirs et des sifflets ».
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